Nous sommes à 152 jours de l’évènement, ‘’Conakry, Capitale Mondiale du Livre ! Notre Rédaction a tendu son micro au Président de la Commission National de l’UNESCO en Guinée, Abdoulaye Yero Baldé, aussi ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique. Lisez !
ScoopGuinée : Nous sommes à quelques mois de Conakry, Capitale Mondiale du Livre. D’abord, en tant que membre du gouvernement guinéen, quel est votre engagement ?
Le Ministre : On ne peut pas organiser un tel évènement de cette dimension sans l’engagement du gouvernement. Donc, avec mon collègue de la culture, nous avons décidé de porter à la connaissance des autorités, l’enjeu de faire face d’autres pays et aussi, tous les bénéfices que nous pouvons en tirer en étant Conakry, Capitale Mondiale du Livre. Parce qu’il y a une ville polonaise avant nous en 2016 et cette fois 2017, c’est à Conakry. Donc, tous ces enjeux-là, est à la culturelle et éducative mais aussi économique et financier.
En tant que Président de la Commission Nationale de l’UNESCO en Guinée. Décrivez-nous les motivations de cette institution par rapport à cet évènement.
L’UNESCO a promis d’offrir 2 millions livres à la Guinée dans le cadre de cette manifestation. Au-delà, n’oubliez pas que l’UNESCO a pris en charge, beaucoup d’éducation dans notre pays. Donc, elle a également pris de très bonnes mesures pour accompagner la Guinée en 2017.
Et en tant que président de la Commission Nationale de L’UNESCO, c’est un plaisir pour moi de participer activement à l’organisation de cet évènement.
Vous avez participé à la présentation générale du projet ‘’Conakry, Capitale Mondiale du Livre’’ par l’Harmattan Guinée. Quelle est votre lecture de la chose ?
C’est d’appeler tous les guinéens à supporter cet évènement qui est important. Regarder déjà, la Pologne qui a remporté en 2016, vient d’envoyer un de ses représentants pour partager son expérience avec la Guinée qui doit organiser Conakry Capitale Mondiale du Livre en 2017. Cela veut dire que ce n’est pas seulement un évènement africain ou guinéen mais, aussi mondial.
Parce que nous aurons les écrivains du monde qui viendront, les responsables dans le domaine d’éducation qui seront là et aussi des investisseurs financiers. Donc, il faut que nous soyons prêts.
Propos recueillis par ScoopGuinée
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