Kerfalla CAMARA-KPC, n’est pas seulement un richissime homme d’affaires et leader national en BTP, il est aussi, un homme sentimentalement épanoui, et heureux dans son couple. Le dicton populaire selon lequel : « derrière chaque grand homme, se cache une grande dame » est valablement applicable au PDG du Groupe Guicopres.
Ainsi, dans la nuit du lundi 20 mars 2017, dans la capitale helvétique, c’est un KPC particulièrement heureux qui a ouvert un pan important de l’histoire de sa vie de couple, sa vie privée, puisqu’il parlera de sa femme à ses collaborateurs et amis comme il ne l’avait jamais fait auparavant.
« Safi est le meilleur cadeau que j’ai reçu de ma défunte mère, paix à son âme » lance KPC avant de commencer à nous conter la passionnante histoire d’amour qui le lie à sa discrète et gentille épouse, Safi.
« Lorsque je connaissais Safi, il n’y avait pas encore Guicopres, je n’avais ni argent, ni notoriété. Je n’étais détenteur qu’une petite boîte de nuit. Elle m’a aimé contre l’avis de beaucoup de ses proches pour lesquels j’étais un faux type, bref un fainéant, poursuit le fondateur de la Guinéenne de Construction et de prestations.
C’est le 25 septembre 1998, contre toute attente, et après avoir réalisé que dans ma vie future, c’est Safi qu’il me faut comme épouse, que ma défunte mère me dira qu’elle célébrera ce jour notre union pour le meilleur et pour le pire, renchérit KPC.
Safi que vous voyez aujourd’hui, a accepté de dormir avec moi à la belle étoile alors que mon bailleur venait de m’expulser de sa maison. A cette inoubliable époque, j’occupais une petite et restreinte chambre-salon.
Très petite, son combat n’a tout le temps été que de me garder, contre vents et marées, comme époux. A ce titre, Safi a accouchée cinq fois successivement par césarienne alors que la moyenne tolérée et sans risque majeur est de trois. Donc elle a risqué sa vie pour moi.
Je l’ai appris, et elle a accepté sans conditions, à rester à la maison et à me laisser sortir seul nuitamment pour aller gérer mon night-club. Et mieux, depuis que j’ai fait sa connaissance, jusqu’aujourd’hui, à chaque fois que je m’énerve, Safi n’a eu qu’un seul mot : ‘’pardon mon mari’’, et cela que j’ai raison ou pas.
Chers amis, je vous rassure que je n’abandonnerais pour rien au monde cette femme. C’est sur cette note de promesse que nous rejoindrons nos lits respectifs », a-t-il fait à ses amis Ibrahim Koné, Bill de SAM, Edson, Djibril, Manga Fodé.
Rendu à notre Rédaction par Aboubacar SAKHO, depuis Genève
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