Cette image ne fait pas honneur à la Guinée. Si dans les autres pays, la police routière entre de plain-pied dans l’ère numérique, dans le pays d’Alpha Condé, on traîne encore les objets qui remontent vers les années 60. L’on se demande s’il y existe d’ailleurs un Etat.
Malgré toute sa rapacité et le rançonnement dont souffrent les détenteurs de véhicules, la police routière guinéenne est incapable de s’offrir une grue moderne. Après avoir immobilisé un véhicule, elle fait appel à une grue datant de l’antiquité.
D’ailleurs, avec tout le bruit que fait l’Etat pour la réforme de la police routière, l’on ne peut nulle part indexer une grue appartenant aux autorités du pays.
Les grues blessantes à moteur découvert que vous voyez circuler à travers à Conakry, appartient à des particuliers qui louent par opération, à la police. Avec ce constat humiliant, comment peut-on rêver avoir une police routière éfficace et crédible à l’image de celle des autres pays ? La honte !
ScoopGuinée
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