Le vent de la mondialisation en matière d’habillement qui souffle sur l’Occident n’épargne pas la Guinée! Dans les rues des grandes villes comme Conakry, Labé, Mamou, pour ne citer que celles-ci, les jeunes filles et même certaines dames choquent par leur habillement. Une pratique qui prend de l’ampleur surtout chez les ados surtout dans les Night Club et dans la rue à Conakry. Cette tranche générationnelle, dans la course effrénée de se faire remarquer mettent les bouchées double pour être à la mode. On ne peut plus faire un pas dans les rues de Conakry, sans apercevoir l’indécence à son plus haut point dans l’habillement des filles.
En Guinée comme partout dans le monde, les jeunes filles ont tendance à aller vers le modernisme, à être à la mode. C’est comme si, la mondialisation a pris le dessus sur toutes les coutumes africaines.
En effet, les jeunes filles s’habillent d’une manière biscornue. Ainsi, elles jettent leur dévolu sur les strings, pantalons taille basse, sous-vêtements tout à fait visibles et autres fessiers, mini- jupes, collants, serre- corps, jupe moulante laissant échapper des quartiers des cuisses et même des percing partout sur le visage. Des habillements qui heurtent les sensibilités.
Les jeunes filles ne ratent aucune occasion pour s’exhiber avec un accoutrement à la limite extravagant. Une scène désagréable alors que la culture africaine enseigne que “la femme doit couvrir son corps pour préserver sa vertu et ne pas s’exposer aux effets de la séduction et à l’atteinte à la pudeur”. Les parents, les autorités à qui la faute?
ScoopGuinée
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