En souvenir du massacre des enfants de Soweto (Afrique du Sud) le 16 juin 1976, qui protestaient contre l’introduction de l’afrikaans comme langue officielle d’enseignement, cette date a été déclarée journée internationale des enfants africains. Cette année, le thème retenu en Guinée est « l’enregistrement des enfants à l’état civil dès après la naissance ».
Face à cette situation, l’Harmattan-Guinée et ses collaborateurs ont mis en place ce mercredi 16 juin des activités réalistes, permettant de sensibiliser les parents dans le but d’enregistrer leurs enfants à l’état civil dès la naissance.
Pour le Directeur Général de l’Harmattan-Guinée, Sansy Kaba Diakité, cette date est historique. « Le 16 juin c’est la journée de l’enfant africain, vous savez c’est une journée de souvenir, parce que les enfants avaient été massacré à Soweto, l’Union africaine et les nations unies ont voulu vraiment que le monde se souvienne de cette date. Il y a quatre ans lors de Conakry capitale mondiale du livre on n’avait inauguré deux monuments, on n’a voulu coïncider cette belle journée à l’enregistrement de naissance, parce que un enfant lorsqu’il est né il a droit à un acte de naissance dit-il avant d’ajouter « nous constatons que dans le pays beaucoup de familles et parents souffrent parce qu’ils ne peuvent pas avoir ni de pièces d’identité ni de passeports, ils deviennent des apatrides parce qu’ils n’ont pas de nationalité » a-t-il souligné.
Pour le Directeur Général de l’Harmattan-Guinée, Sansy Kaba Diakité, cette date est historique. « Le 16 juin c’est la journée de l’enfant africain, vous savez c’est une journée de souvenir, parce que les enfants avaient été massacré à Soweto, l’Union africaine et les nations unies ont voulu vraiment que le monde se souvienne de cette date. Il y a quatre ans lors de Conakry capitale mondiale du livre on n’avait inauguré deux monuments, on n’a voulu coïncider cette belle journée à l’enregistrement de naissance, parce que un enfant lorsqu’il est né il a droit à un acte de naissance dit-il avant d’ajouter « nous constatons que dans le pays beaucoup de familles et parents souffrent parce qu’ils ne peuvent pas avoir ni de pièces d’identité ni de passeports, ils deviennent des apatrides parce qu’ils n’ont pas de nationalité » a-t-il souligné.
Dans le même sillage, l’Ambassadeur d’Italie en Guinée SEM Livio Spadavecchia a rappelé l’importance de tenir une journée de concertation allant dans le sens de la sensibilisation des parents à ce sujet. « Nous sommes là dans le cadre de la célébration de la journée des enfants, mais aussi présenter les avances de nos projets sur l’enregistrement de naissance à l’état civil guinéen » a précisé le diplomate italien.
Plusieurs partenaires sont à pied d’œuvre pour booster ce disfonctionnement, le comme le manifeste Adama Sylla « l’objectif pour nous est d’assurer le droit aux mineurs à l’identité par rapport à l’augmentation du taux d’enregistrement à l’état civil. Avec la cartographie qu’on a eu à faire, on s’est rendu compte qu’il y a beaucoup d’enfants à Conakry qui ne sont pas encore enregistrés et c’est le combat qu’on est en train de mener » a expliqué cette activiste humanitaire.
De la lecture à la scène de théâtre, cette journée du 16 juin aura été à Conakry pleine de sens et riche en enseignement sur les droits des enfants en Afrique et en Guinée en particulier.
Amara Touré
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