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Cellou et Sidya sommés de quitter leurs domiciles : «Donc je participe à leur émotion…» affirme Lansana Kouyaté

La récupération des domaines de l’état enclenchée par le CNRD était au centre des débat à l’assemblée générale du parti de l’espoir pour le développement national. Lansana Kouyaté président dudit parti regrette l’état dans lequel trouve ses compagnons. Il l’a fait savoir ce samedi 19 février 2022.

«Je regrette vraiment ce qu’ils peuvent ressentir parce que c’est quand même des humains. Et quelque soit ce que nous pensons c’est touchant pour quelqu’un qui a été à leur position et de se trouver dans une telle situation. Donc je participe à leur émotion et à tout ce que cela pourrais leurs causer » a-t-il dit.

Pour le leader du PEDN, récupérer les domaines de l’état c’est bien mais il faut le faire tout en respectant la procédure juridique « Pour ce qui conserve la récupération des biens de l’état personne ne peut dire non. Mais quelle façon doit on entreprendre? Quelle méthode doit ton adopter ? Parfois ce sont des bâtiments qui sont occupés depuis des dizaines d’années. Et pour ça il faut savoir qui a acquis quoi et dans quelle condition tout cela doit être examiné sans quoi le problème va monter et nous serons tous là pour se plaindre. Il y’a certains qui détiennent des documents dont il faut examiner. Il faut que cela soit fait en toute transparence et en toute égalité aussi après avoir examiné les textes. Et ceux qui sont en faute vont le respecter. Il doit passer par une bonne méthode pour la récupération » a-t-il fustigé avant de poursuivre.

« Ce mouvement du CNRD a été battit sur le socle de la justice, dans la vérité et par cela y’a aussi la récupération des domaines de l’état. Si c’est fait dans la justice tout est ok. Parce que la justice dans toute sa transcendante doit être dite. Et cette justice quand elle est dite chacun de nous doit simplement accepter. La loi du lieu réside l’acte, quand on respecte tout dans le cadre de ces lois dont ce sont approprié les institutions judiciaires nous devons les accepter » a-t-il conclu.

Amadou Bayo Kanté

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