Le lancement officiel du Brevet d’Etude du Premier Cycle (BEPC) session 2016-2017 a démarré ce jeudi 29 juin sur toute l’étendue du territoire. Notre rédaction s’est rendue dans un des centres d’examens de la capitale, Conakry, situé à l’école primaire de la Gare, juste en face des chemins de fer à côté du marché Niger, à Kaloum.
En effet, ce centre d’examen est composé de 260 candidats dont 108 filles et 152 garçons, qui sont réparties dans 9 salles de classes et chacune des salles surveillée par deux enseignants. C’est la salle 2 qui a eu le privilège d’abriter la cérémonie du lancement dont le premier sujet de Rédaction a été ouvert et lu par une candidate de la salle. C’ainsi que le chef du centre et Directeur de l’école, El hadj Souleymane Keita, a exhorté les élèves et les enseignants à la discipline.
Par ailleurs, lors de la montée des couleurs, le délégué du centre Charles Jérôme Kénoh a tenu un discours sur le respect des consignes en disant ceci : « ne pas avoir des documents dans les salles, ne pas venir avec des sacs à l’école encore moins les téléphones et pour les élèves et pour les surveillants ». Après avoir attiré l’attention des candidats à être dans la conformité des règles, il a réuni les surveillants dans la salle de Secrétariat en leur demandant de jouer leur rôle pour le bon déroulement des examens et être attentif sur les faits et les gestes des candidats. D’où l’un des surveillants a lu la fiche d’engagement devant tout le monde. Pour conclure, le chef du centre a prié les surveillants de faire en sorte qu’il n’y est pas de problème majeur car c’est leur image qui sera terni aux yeux de tous les guinéens.
A noter, l’implication de la Première Dame de la République à travers sa fondation PROSMI, qui a offert des médicaments dans les centres d’examens. Dans la plupart des établissements, on y trouve des infirmeries pour des cas de malaise des candidats. C’est dans cette logique que l’infirmière de Santé Scolaire a profité de l’occasion pour lire une fiche sur les dangers liés aux médicaments par terre.
Ibrahima Soya Bah pour ScoopGuinée
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